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12261900011 - Actualiser les connaissances sur la Maladie de Parkinson pour les médecins spécialisés en médecine générale
Date de début : 23/02/2019 Lieu : NICE Pré-inscription |
Organisateur : |
Mme BUSCARINI Lea |
Expert : |
Dr GIACCARDI Yvette |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_TAMARI_MEDECINS) |
Description | |
La maladie de Parkinson est une maladie neuro-dégénérative caractérisée par la destruction des neurones à dopamine, neurones impliqués dans le contrôle des mouvements. En France, 200 000 personnes environs souffrent de cette maladie. Les causes de la maladie restent inconnues. Les recherches actuelles portent sur différentes pistes. Le premier critère pour poser le diagnostic est la présence de deux au moins des trois symptômes majeurs de la maladie : la lenteur dans les mouvements, la rigidité, le tremblement aux repos. Les symptômes de la maladie de Parkinson sont différents d’une personne à une autre et vont évoluer dans le temps. La prise en charge doit être effectuée par une équipe pluridisciplinaire. Des traitements existent pour améliorer la qualité de vie des malades mais ils ne permettent pas d’arrêter l’évolution de la maladie, Les traitements médicamenteux visent à pallier le manque de dopamine. Une prise en charge chirurgicale peut être envisagée. La chirurgie consiste en une stimulation cérébrale profonde (implantation d’électrodes dans le cerveau). La rééducation physique et orthophonique sont des compléments essentiels du traitement. L’éducation thérapeutique du patient (ETP) « vise à aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique». Le médecin spécialisé en médecine générale est le pivot du suivi du patient parkinsonien et ce programme lui permettra d’améliorer ses connaissances selon les référentiels. |
12261900011 - Actualiser les connaissances sur la Maladie de Parkinson pour les médecins spécialisés en médecine générale
Date de début : 14/09/2019 Lieu : CANNES Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Dr GIACCARDI Yvette |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_TAMARI_MEDECINS) |
Description | |
La maladie de Parkinson est une maladie neuro-dégénérative caractérisée par la destruction des neurones à dopamine, neurones impliqués dans le contrôle des mouvements. En France, 200 000 personnes environs souffrent de cette maladie. Les causes de la maladie restent inconnues. Les recherches actuelles portent sur différentes pistes. Le premier critère pour poser le diagnostic est la présence de deux au moins des trois symptômes majeurs de la maladie : la lenteur dans les mouvements, la rigidité, le tremblement aux repos. Les symptômes de la maladie de Parkinson sont différents d’une personne à une autre et vont évoluer dans le temps. La prise en charge doit être effectuée par une équipe pluridisciplinaire. Des traitements existent pour améliorer la qualité de vie des malades mais ils ne permettent pas d’arrêter l’évolution de la maladie, Les traitements médicamenteux visent à pallier le manque de dopamine. Une prise en charge chirurgicale peut être envisagée. La chirurgie consiste en une stimulation cérébrale profonde (implantation d’électrodes dans le cerveau). La rééducation physique et orthophonique sont des compléments essentiels du traitement. L’éducation thérapeutique du patient (ETP) « vise à aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique». Le médecin spécialisé en médecine générale est le pivot du suivi du patient parkinsonien et ce programme lui permettra d’améliorer ses connaissances selon les référentiels. |
12261900011 - Actualiser les connaissances sur la Maladie de Parkinson pour les médecins spécialisés en médecine générale
Date de début : 27/04/2019 Lieu : NICE Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Dr GIACCARDI Yvette |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_TAMARI_MEDECINS) |
Description | |
La maladie de Parkinson est une maladie neuro-dégénérative caractérisée par la destruction des neurones à dopamine, neurones impliqués dans le contrôle des mouvements. En France, 200 000 personnes environs souffrent de cette maladie. Les causes de la maladie restent inconnues. Les recherches actuelles portent sur différentes pistes. Le premier critère pour poser le diagnostic est la présence de deux au moins des trois symptômes majeurs de la maladie : la lenteur dans les mouvements, la rigidité, le tremblement aux repos. Les symptômes de la maladie de Parkinson sont différents d’une personne à une autre et vont évoluer dans le temps. La prise en charge doit être effectuée par une équipe pluridisciplinaire. Des traitements existent pour améliorer la qualité de vie des malades mais ils ne permettent pas d’arrêter l’évolution de la maladie, Les traitements médicamenteux visent à pallier le manque de dopamine. Une prise en charge chirurgicale peut être envisagée. La chirurgie consiste en une stimulation cérébrale profonde (implantation d’électrodes dans le cerveau). La rééducation physique et orthophonique sont des compléments essentiels du traitement. L’éducation thérapeutique du patient (ETP) « vise à aider les patients à acquérir ou maintenir les compétences dont ils ont besoin pour gérer au mieux leur vie avec une maladie chronique». Le médecin spécialisé en médecine générale est le pivot du suivi du patient parkinsonien et ce programme lui permettra d’améliorer ses connaissances selon les référentiels. |
- Affections neuro hypophysaires : Quoi de neuf ?
Date de début : 15/06/2019 Lieu : MONTPELLIER Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Pr JAFFIOL Claude |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_MEDECINS) |
52491900041 - Anorexie mentale : dépistage et prise en charge
Date de début : 13/04/2019 Lieu : AIX EN PROVENCE Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Dr LACHKAR Monique |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_MEDECINS) |
Objectifs | |
b. Objectifs généraux : Ce programme est destiné à fournir aux participants les éléments cliniques et para-cliniques pour leur permettre de dépister une anorexie mentale, en précisant le diagnostic étiologique et différentiel ( associée à la boulimie, co-morbidité psychiatrique ou cliniques…) Il insiste sur les différents aspects de la prise en charge : - approche multi disciplinaire à organiser et animer - lien thérapeutique particulier - indications de l’hospitalisation - Prévention des actes auto-agressifs ou suicidaires Il replace enfin cette maladie dans un contexte familial et/ou traumatique. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Objectif N°1 : Dépister l’apparition insidieuse d’une anorexie mentale, et reconnaître les risques évolutifs et les co-morbidités. Objectif N°2 : Effectuer un entretien thérapeutique avec une patiente anorexique, en créant le lien, permettant d’organiser un suivi pluri-disciplinaire Objectif N°3 : Choisir l’indication d’une hospitalisation en cas d’IMC bas ou de risque suicidaire, organiser et surveiller la réalimentation Objectif N°4 : Planifier et accompagner la psychothérapie et le soutien des associations. |
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Description | |
L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire (TCA) d’origine multifactorielle : facteurs personnels de vulnérabilité psychologique, biologique et génétique, et facteurs d’environnement, familiaux mais également socioculturels (importance de l’image du corps dans nos sociétés). Cette action permettra de préciser les critères diagnostiques concernant en particulier la place des formes mineures et l'association de plusieurs troubles alimentaires car les conduites anorexiques et boulimiques sont souvent associées, simultanément ou successivement. Il s’agira d’évaluer la gravité potentielle de son pronostic par le risque de décès (suicide, complications somatiques) bien que la guérison soit possible même au bout de plusieurs années d’évolution. On justifiera l’approche pluridisciplinaire par la nécessité d’aborder les dimensions nutritionnelles, somatiques, psychologiques et familiales. On identifiera la question de l’articulation des différents intervenants au sein d’un projet de soins global au long cours. La qualité des soins sera améliorée grâce au repérage et au diagnostic précoces, prenant en compte les populations les plus à risque, les signes d’alerte et les critères diagnostiques les plus pertinents, ainsi que la recherche d’alliance avec le patient et son entourage, souvent difficile du fait des mécanismes de déni; Enfin, nous illustrerons - les modalités d’orientation et de prise en charge ambulatoire des patients (adressage, nécessaire pluridisciplinarité et dispositifs spécialisés, en particulier en termes d’hospitalisation de jour) - les indications et modalités d’hospitalisation à temps plein (critères de gravité, contrats thérapeutiques et place de l’hospitalisation sous contrainte). |
52491900041 - Anorexie mentale : dépistage et prise en charge
Date de début : 18/05/2019 Lieu : NICE Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Dr LACHKAR Monique |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_MEDECINS) |
Objectifs | |
b. Objectifs généraux : Ce programme est destiné à fournir aux participants les éléments cliniques et para-cliniques pour leur permettre de dépister une anorexie mentale, en précisant le diagnostic étiologique et différentiel ( associée à la boulimie, co-morbidité psychiatrique ou cliniques…) Il insiste sur les différents aspects de la prise en charge : - approche multi disciplinaire à organiser et animer - lien thérapeutique particulier - indications de l’hospitalisation - Prévention des actes auto-agressifs ou suicidaires Il replace enfin cette maladie dans un contexte familial et/ou traumatique. c. Objectifs pédagogiques spécifiques : A l’issue de la formation, le participant sera en capacité de : Objectif N°1 : Dépister l’apparition insidieuse d’une anorexie mentale, et reconnaître les risques évolutifs et les co-morbidités. Objectif N°2 : Effectuer un entretien thérapeutique avec une patiente anorexique, en créant le lien, permettant d’organiser un suivi pluri-disciplinaire Objectif N°3 : Choisir l’indication d’une hospitalisation en cas d’IMC bas ou de risque suicidaire, organiser et surveiller la réalimentation Objectif N°4 : Planifier et accompagner la psychothérapie et le soutien des associations. |
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Description | |
L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire (TCA) d’origine multifactorielle : facteurs personnels de vulnérabilité psychologique, biologique et génétique, et facteurs d’environnement, familiaux mais également socioculturels (importance de l’image du corps dans nos sociétés). Cette action permettra de préciser les critères diagnostiques concernant en particulier la place des formes mineures et l'association de plusieurs troubles alimentaires car les conduites anorexiques et boulimiques sont souvent associées, simultanément ou successivement. Il s’agira d’évaluer la gravité potentielle de son pronostic par le risque de décès (suicide, complications somatiques) bien que la guérison soit possible même au bout de plusieurs années d’évolution. On justifiera l’approche pluridisciplinaire par la nécessité d’aborder les dimensions nutritionnelles, somatiques, psychologiques et familiales. On identifiera la question de l’articulation des différents intervenants au sein d’un projet de soins global au long cours. La qualité des soins sera améliorée grâce au repérage et au diagnostic précoces, prenant en compte les populations les plus à risque, les signes d’alerte et les critères diagnostiques les plus pertinents, ainsi que la recherche d’alliance avec le patient et son entourage, souvent difficile du fait des mécanismes de déni; Enfin, nous illustrerons - les modalités d’orientation et de prise en charge ambulatoire des patients (adressage, nécessaire pluridisciplinarité et dispositifs spécialisés, en particulier en termes d’hospitalisation de jour) - les indications et modalités d’hospitalisation à temps plein (critères de gravité, contrats thérapeutiques et place de l’hospitalisation sous contrainte). |
52491900022 - Burnout du Professionnel de Santé : dépister, prendre en charge et prévenir.
Date de début : 13/04/2019 Lieu : NIMES Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Dr MERIC Jean-Bruno |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_MEDECINS) |
Pour qui? : |
MG, Psychiatrie générale et médecine du travail |
Description | |
Le Gouvernement a présenté en décembre 2016 une stratégie nationale visant à faire de la qualité de vie au travail des professionnels de santé une priorité. Le syndrome d’épuisement professionnel, équivalent en français du terme anglais burnout, se traduit par un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel ». Ce syndrome peut se traduire par des manifestations plus ou moins importantes, d’installation progressive et souvent insidieuse, en rupture avec l’état antérieur. Il peut s’agir de perturbations émotionnelles (anxiété, tensions musculaires diffuses, tristesse de l’humeur ou manque d’entrain, irritabilité, hypersensibilité, absence d’émotion). Parfois des modifications cognitives se mettent en place (troubles de la mémoire, de l’attention, de la concentration, des fonctions exécutives). Les manifestations comportementales ou interpersonnelles sont fréquentes (repli sur soi, isolement social, comportement agressif, parfois violent, diminution de l’empathie, ressentiment et hostilité à l’égard des interlocuteurs). Certains comportements addictifs peuvent apparaitre. Enfin il existe souvent des changements d’attitude (désengagement progressif, baisse de motivation et du moral, effritement des valeurs associées au travail, doutes sur ses propres compétences). La personne souffrant de burn out ressent des manifestations ´physiques non spécifiques tels qu’une asthénie, des troubles du sommeil, des troubles musculo-squelettiques, des céphalées, des troubles gastro-intestinaux…. Les soignants nécessitent une prise en charge spécifique via un réseau de soin adapté. Au même titre que les autres groupes professionnels, celle-ci implique le respect de la confidentialité et une réactivité adaptée, d’autant que la demande d’aide peut être retardée. Un soutien psychologique ainsi parfois d’une aide social est indispensable. Les professionnels de santé devraient bénéficier d’un suivi médical au sein de leur service de santé au travail comme tout autre travailleur salarié pour prévenir les situation d’épuisement au travail, et les prendre en charge lors que le professionnel en a besoin. Ce programme de formation permettra aux participants d’améliorer leurs compétences sur le repérage et la prise en charge du syndrome d’épuisement professionnel chez les professionnels de santé. |
52491900022 - Burnout du Professionnel de Santé : dépister, prendre en charge et prévenir.
Date de début : 28/09/2019 Lieu : NICE Pré-inscription |
Organisateur : |
|
Expert : |
Dr MERIC Jean-Bruno |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_MEDECINS) |
Pour qui? : |
MG, Psychiatrie générale et médecine du travail |
Description | |
Le Gouvernement a présenté en décembre 2016 une stratégie nationale visant à faire de la qualité de vie au travail des professionnels de santé une priorité. Le syndrome d’épuisement professionnel, équivalent en français du terme anglais burnout, se traduit par un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel ». Ce syndrome peut se traduire par des manifestations plus ou moins importantes, d’installation progressive et souvent insidieuse, en rupture avec l’état antérieur. Il peut s’agir de perturbations émotionnelles (anxiété, tensions musculaires diffuses, tristesse de l’humeur ou manque d’entrain, irritabilité, hypersensibilité, absence d’émotion). Parfois des modifications cognitives se mettent en place (troubles de la mémoire, de l’attention, de la concentration, des fonctions exécutives). Les manifestations comportementales ou interpersonnelles sont fréquentes (repli sur soi, isolement social, comportement agressif, parfois violent, diminution de l’empathie, ressentiment et hostilité à l’égard des interlocuteurs). Certains comportements addictifs peuvent apparaitre. Enfin il existe souvent des changements d’attitude (désengagement progressif, baisse de motivation et du moral, effritement des valeurs associées au travail, doutes sur ses propres compétences). La personne souffrant de burn out ressent des manifestations ´physiques non spécifiques tels qu’une asthénie, des troubles du sommeil, des troubles musculo-squelettiques, des céphalées, des troubles gastro-intestinaux…. Les soignants nécessitent une prise en charge spécifique via un réseau de soin adapté. Au même titre que les autres groupes professionnels, celle-ci implique le respect de la confidentialité et une réactivité adaptée, d’autant que la demande d’aide peut être retardée. Un soutien psychologique ainsi parfois d’une aide social est indispensable. Les professionnels de santé devraient bénéficier d’un suivi médical au sein de leur service de santé au travail comme tout autre travailleur salarié pour prévenir les situation d’épuisement au travail, et les prendre en charge lors que le professionnel en a besoin. Ce programme de formation permettra aux participants d’améliorer leurs compétences sur le repérage et la prise en charge du syndrome d’épuisement professionnel chez les professionnels de santé. |
52491900022 - Burnout du Professionnel de Santé : dépister, prendre en charge et prévenir.
Date de début : 27/04/2019 Lieu : MARSEILLE Pré-inscription |
Organisateur : |
|
Expert : |
Dr MERIC Jean-Bruno |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_MEDECINS) |
Pour qui? : |
MG, Psychiatrie générale et médecine du travail |
Description | |
Le Gouvernement a présenté en décembre 2016 une stratégie nationale visant à faire de la qualité de vie au travail des professionnels de santé une priorité. Le syndrome d’épuisement professionnel, équivalent en français du terme anglais burnout, se traduit par un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel ». Ce syndrome peut se traduire par des manifestations plus ou moins importantes, d’installation progressive et souvent insidieuse, en rupture avec l’état antérieur. Il peut s’agir de perturbations émotionnelles (anxiété, tensions musculaires diffuses, tristesse de l’humeur ou manque d’entrain, irritabilité, hypersensibilité, absence d’émotion). Parfois des modifications cognitives se mettent en place (troubles de la mémoire, de l’attention, de la concentration, des fonctions exécutives). Les manifestations comportementales ou interpersonnelles sont fréquentes (repli sur soi, isolement social, comportement agressif, parfois violent, diminution de l’empathie, ressentiment et hostilité à l’égard des interlocuteurs). Certains comportements addictifs peuvent apparaitre. Enfin il existe souvent des changements d’attitude (désengagement progressif, baisse de motivation et du moral, effritement des valeurs associées au travail, doutes sur ses propres compétences). La personne souffrant de burn out ressent des manifestations ´physiques non spécifiques tels qu’une asthénie, des troubles du sommeil, des troubles musculo-squelettiques, des céphalées, des troubles gastro-intestinaux…. Les soignants nécessitent une prise en charge spécifique via un réseau de soin adapté. Au même titre que les autres groupes professionnels, celle-ci implique le respect de la confidentialité et une réactivité adaptée, d’autant que la demande d’aide peut être retardée. Un soutien psychologique ainsi parfois d’une aide social est indispensable. Les professionnels de santé devraient bénéficier d’un suivi médical au sein de leur service de santé au travail comme tout autre travailleur salarié pour prévenir les situation d’épuisement au travail, et les prendre en charge lors que le professionnel en a besoin. Ce programme de formation permettra aux participants d’améliorer leurs compétences sur le repérage et la prise en charge du syndrome d’épuisement professionnel chez les professionnels de santé. |
52491900045 - Chimiothérapie à domicile par l’infirmier(e) : actualisation des connaissances
Date de début : 14/12/2019 Lieu : MARSEILLE Pré-inscription |
Organisateur : |
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Expert : |
Dr VENTON Geoffroy |
Financeur : |
Agence Nationale du Développement Professionnel continu (ANDPC_VFL_INFIRMIERS) |
Description | |
La pathologie cancéreuse est la première cause de mortalité en France. Le Plan Cancer 2014-2019 insiste sur la nécessité de développer la prise en charge à domicile des patients traités par chimiothérapie. Une chimiothérapie anticancéreuse peut être entreprise à domicile dès lors qu’il s’agit du souhait du patient et qu’un protocole de soins a été établi. Les professionnels de santé sollicités doivent s’accorder sur la possibilité du maintien à domicile du patient cancéreux, et le champ de compétences de chacun. L’Infirmière Diplômée d’Etat exerçant en ville travaille en coordination avec des réseaux de soins (HAD, SSIAS…). Il doit exister une convention avec un établissement autorisé à pratiquer l’activité de chimiothérapie. L’IDE surveille quotidiennement le patient. Elle connait les traitements chimiothérapeutiques délivrés à son patient, leurs principes d’actions, leurs effets secondaires possibles. Ainsi l’IDE repère et évalue les effets secondaires des traitements chez son malade suivi à domicile. Elle suit le protocole de soins établi et peut décider, selon son jugement professionnel, de faire appel aux médecins de son réseau. L’IDE est garante de la sécurité des soins qu’elle délivre, que ce soit sur le plan des conditions d’asepsie, du choix de matériels spécifiques, mais aussi du circuit des médicaments, des techniques d’utilisation et d’administration des agents cytotoxiques puis de l’élimination des déchets. Le patient cancéreux pris en charge à domicile nécessite des soins spécifiques autres que les traitements médicamenteux. Il a besoin d’une écoute bienveillante constante, de soins de nursing spécifiques et d’un accompagnement psychologique tout le long de son traitement L’IDE qui réalise des soins de chimiothérapie à domicile doit être formé pour assurer cette prise en charge complexe mais qui participe au mieux au succès du traitement. |